Projecteur de film 17,5 mm sonore
N° Inventaire : CNC-AP-96-266
Collection : Centre national du cinéma et de l'image animée
Catégorie d'appareil : Projection lumineuse cinématographique
Nom du modèle : Pathé Super Rural
Lieu de fabrication : Paris, France
Année de fabrication : 1937
Copyright photo : Dabrowski Stéphane
Fiche détaillée
Type de l'appareil
entraînement du film 17,5 mm sonore par deux griffes ; trois débiteurs dentés ; bras débiteur et récepteur ; lanterne et ampoule électrique incorporées ; ventilateur et moteur électriques incorporés ; lecture sonore optique ; cellule photoélectrique
Auteurs
Informations non disponibles
Fabricants
Pierre Victor Continsouza
Paris, 9 rue des Envierges
Etablissements Pierre Victor Continsouza
Paris, 403 rue des Pyrénées
Utilisateurs
Informations non disponibles
Distributeurs
Pathé Cinéma
Paris, 20 bis rue Lafayette
Sujet du modèle
Informations non disponibles
Objectif
absent
Taille de l'objet
Ouvert :
Informations non disponibles
Fermé :
Longueur : 60 cm
Largeur : 20 cm
Hauteur : 49 cm
Diamètre :
Informations non disponibles
Taille de la boîte de transport
Informations non disponibles
Remarques
Inscrit sur la lanterne : "Super Rural Pathé-Cinéma".
"Le Super Rural que Pathé Cinéma lance sur le marché constitue, parmi les appareils de format réduit, l'ensemble le plus moderne au double point de vue de la projection et de la reproduction sonore. Le projecteur est constitué par un bloc hermétiquement clos contenant l'huile, ce qui supprime le graissage. Ses caractéristiques sont les suivantes : dimensions 79 x 75 x 25 cm. Poids 32 kg. Consommation 9 ampères. Chargement très simple. Enrouleuse commandée au moyen de vis et roues tangentes noyées à l'intérieur du bras support de bobines. Lampe de projection de 750 watts alimentée à la tension de 110 volts. Source d'excitation de la cellule indépendante de la lampe de projection. Le trait de lecture est extrêmement fin (0,007 mm) et très lumineux. Reproduction de 50 à 9000 périodes. Amplificateur monté sur châssis métallique glissant dans un caisson rigide ; utilise des lampes tout acier ; donne 12 watts modulés sans aucune distorsion et 20 watts avec une distorsion de l'ordre de 6 %. Volant de lecture monté sur roulement à billes ; contient la cellule photoélectrique. Cette solution évite l'emploi d'un dispositif optique compliqué pour diriger la lumière provenant de la lampe excitatrice sur la cellule. L'obturateur arrière située entre la source lumineuse et le film diminue l'échauffement de la fenêtre de projection et du film. L'appareil de projection proprement dit est monté sur un socle et peut prendre, au moyen d'une articulation par vis hélicoïdale, tous les angles de plongée ou de redressement nécessités par les besoins de la projection. Le socle contient tous les organes nécessaires pour mettre en marche le moteur d'entraînement, la lampe de projection et la lampe excitatrice au moyen de trois poutons pressoirs qui se vérouillent électriquement. Une prise moniteur de cabine, une prise de pick-up, une prise micro et un pied support complètent cet ensemble" (La Cinématographie française, 29 octobre 1937).
Bibliographie
La Cinématographie française, n° 973, 25 juin 1937
La Cinématographie française, 29 octobre 1937