réservoir à niveau constant contenant de l'alcool et relié à une mèche ; support de baton de chaux ; tube à ajutage pour amener l'oxygène en jet concentrique à la mèche et devant le baton de chaux ; base en bois ; support réglable
Wood E.G.
Londres, 74 Cheapside
E.G. Wood
Londres, 74 Cheapside
Wood E.G.
Londres, 74 Cheapside
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Ouvert :
Longueur : 32 cm
Largeur : 10 cm
Hauteur : 23 cm
Fermé :
Longueur : 32 cm
Largeur : 10 cm
Hauteur : 23 cm
Diamètre :
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"La lumière oxyalcool ou oxycalcique est une lumière dans laquelle le gaz hydrogène est remplacé par une flamme d'alcool au milieu de laquelle on fait passer un courant d'oxygène. Un chalumeau spécial a été construit à cet effet. Il se compose d'un réservoir cylindrique placé à l'arrière du brûleur et assez loin pour éviter l'échauffement ; l'alcool est maintenu dans le réservoir par la contre-pression de l'air. Ce réservoir communique par un tube à un autre cylindre plus petit qui se trouve sous le bec du chalumeau et qui contient trois mèches rondes formant la lampe de l'appareil. La contenance du réservoir est de 360 grammes. La pression du chalumeau étant moindre que celle obtenue avec les chalumeaux à deux gaz ou les carburateurs, il est préférable de n'employer que de la chaux tendre. Ce bâton de chaux se place sur la tige-support comme dans les autres chalumeaux". (G. Michel Coissac, La Théorie et la pratique des projections, Paris, Maison de la Bonne Presse, s.d. [1906], pp. 197-198).
"Chalumeaux à alcool. Lorsque, pour une cause ou pour une autre, on ne peut faire usage d'hydrogène, on peut remplacer la flamme donnée par ce gaz par celle produite par une lampe à alcool. L'intensité lumineuse est bien moindre, mais elle est cependant bien supérieure encore à celle des lampes à pétrole. Un réservoir à niveau constant contient l'alcool de façon à le faire arriver régulièrement à la mèche sans l'inonder. Un tube terminé par un ajutage à petite ouverture amène l'oxygène au centre de la flamme et augmente la chaleur qu'elle développe de façonb à amener l'incendescence de la chaux. Dans un modèle plus perfectionné, dit à jet concentrique, la mèche est beaucoup plus large, et c'est à l'intérieur du bec et au centre que débouche le jet d'oxygène." (Eugène Trutat, Traité général des projections, Paris, Charles Mendel, 1897, pp. 122-123).
Gravé sur le métal : "E.G. Wood, 74 Cheapside, Patent".
Eugène Trutat, Traité général des projections, tome I, Paris, Charles Mendel, 1897, pp. 122-123.
G. Michel Coissac, La Théorie et la pratique des projections, Paris, Maison de la Bonne Presse, s.d. [1906], pp. 197-198.