mécanisme à ressort d'horlogerie ; régulateur électrique ; porte-charbons
Foucault Léon
Paris, 34 rue d'Assas
Louis-Jules Duboscq
Paris, 21 rue de l'Odéon
Foucault Léon
Paris, 34 rue d'Assas
Louis-Jules Duboscq
Paris, 21 rue de l'Odéon
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Ouvert :
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Fermé :
Hauteur : 53.5 cm
Diamètre :
14 cm
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Gravé sur le cuivre : " J. Duboscq à Paris - Appareil breveté S.G.D.G.".
Mouvement automatique d'avance et de recul des charbons par l'électricité.
Lampe s'adaptant à la lanterne photogénique. Appareil vendu 450 francs en 1887. L. Foucault est le premier, en 1848, à employer le courant électrique pour régulariser l'arc voltaïque et d'en faire l'application en donnant automatiquement aux charbons un mouvement d'avance. Il le perfectionne en 1857 en donnant aux charbons un mouvement d'avance et de recul. Ce modèle commercialisé par Duboscq correspond au brevet de Foucault du 15 octobre 1863.
"Parmi les régulateurs automatiques, le plus ancien est peut-être encore le meilleur : celui de Duboscq. Son seul inconvénient est de ne pouvoir s'introduire dans toutes les lanternes ; mais il fonctionne admirablement dans la lanterne de Duboscq et dans celle de Molteni" (Eugène Trutat, Traité général des projections, Paris, Mendel, 1897, p. 129).
J. Duboscq, Historique et catalogue de tous les instruments d'optique supérieure, Paris, 1885, p.8.
Eugène Trutat, Traité général des projections, Paris, Charles Mendel, 1897, p. 129.