Caméra film 35 mm
N° Inventaire : AP-10-2618
Collection : La Cinémathèque française
Catégorie d'appareil : Prise de vues cinématographiques
Lieu de fabrication : Chatou, France
Année de fabrication : 1920
Brevet : Emile Labrely, brevet français n° 523 383, demandé le 31 août 1920, "Perfectionnements apportés aux appareils de prise de vue... +
Copyright photo : Dabrowski Stéphane
Fiche détaillée
Type de l'appareil
entraînement du film 35 mm par deux griffes, bielle et levier oscillant ; un débiteur denté ; deux magasins en bois 120 mètres dont un intérieur ; manivelle avec volant ; caisse en bois avec deux portes
Auteurs
Emile Labrély
Chatou, 12 avenue de la Pièce d'Eau
Fabricants
Georges Emile Labrély
Chatou, 12 avenue de la Pièce d'Eau
Utilisateurs
Emile Labrély
Chatou, 12 avenue de la Pièce d'Eau
Distributeurs
Informations non disponibles
Sujet du modèle
Informations non disponibles
Objectif
2 cm diamètre
Taille de l'objet
Ouvert :
Informations non disponibles
Fermé :
Longueur : 42 cm
Largeur : 29 cm
Hauteur : 38 cm
Diamètre :
Informations non disponibles
Taille de la boîte de transport
Informations non disponibles
Remarques
Marque : "E. Labrély constructeur, Chatou, 12 avenue de la Pièce d'Eau".
"L'appareil de prise de vues à grande vitesse ainsi perfectionné offre plusieurs avantages, dont les principaux sont : une grande simplicité de construction, un nombre réduit d'arbres pour une très grande démultiplication, une immobilisation parfaite du film pendant l'exposition, dont la durée, relativement très longue, permet l'obtention d'images plus nettes et plus lumineuses que celles obtenues avec les appareils actuellement en usage, et ce en opérant à des vitesses considérables. L'invention a pour objet des perfectionnements apportés aux appareils de prise de vues cinématographiques à grande vitesse, caractérisés par l'établissement d'un mécanisme d'entraînement par saccades et d'immobilisation parfaite du film pendant la prise de vues, ce mécanisme comportant essentiellement une manivelle et une bielle calée sur elle de manière à transmettre à des leviers oscillants des mouvements tels que les griffes d'entraînement portées par certains de ces leviers soient en prise avec le film moins longtemps que ne le sont avec lui les ergots d'immobilisation actionnés par d'autres leviers, ces ergots d'immobilisation venant cependant en prise avec le film avant que les griffes d'entraînement ne l'aient entièrement abandonné, et le mécanisme étant établi de telle manière que la prise de vues puisse être extrêmement rapide" (Emile Labrély, brevet français n° 523 383, demandé le 31 août 1920, "Perfectionnements apportés aux appareils de prise de vues cinématographiques à grande vitesse").