Générique
Réalisateur :
Jean Girault
Assistants réalisateurs :
Michel Leroy, Patrick Jacquillard, Bernard Seitz
Scénaristes :
Louis deFunès, Jean Halain
Auteur de l'oeuvre originale :
René Fallet d'après le roman de René Fallet "La Soupe aux choux"
Dialoguistes :
Louis deFunès, Jean Halain
Sociétés de production :
Les Films Christian Fechner, Films A2 (Paris)
Producteur :
Christian Fechner
Directeur de production :
Henri Brichetti
Distributeur d'origine :
AMLF
Directeur de la photographie :
Edmond Richard
Cadreur :
Jacques Mironneau
Ingénieur du son :
Paul Lainé
Compositeur de la musique originale :
Raymond Lefebvre
Décorateur :
Sydney Bettex
Maquettiste :
Pierre Sarda
Costumier :
Annie Périer
Maquilleurs :
Josée deLuca, Marguerite Lambert
Monteur :
Michel Lewin
Script :
Colette Robin
Régisseur :
Bernard Bouix
Coordinateurs des effets spéciaux :
Serge Pouvianne, Louis Thilliez, Hervé Lelièvre, Max Fournier
Photographe de plateau :
Dominique Le Strat
Interprètes :
Louis deFunès (Claude Ratinier, dit Le Glaude), Jean Carmet (Francis Chérasse, dit Le Bombé), Jacques Villeret (l'extraterrestre, dit La Denrée), Christine Dejoux (Francine), Claude Gensac (Amélie Poulangeard), Marco Perrin (le maire), Henri Génès (le brigadier), Gaëlle Legrand (Catherine Lamouette), Philippe Ruggieri (Robert), Perrette Souplex (Aimée, la patronne du café), Max Montavon (le frère d'Amélie Poulangeard), Philippe Brizard (Guillaume, le facteur), Catherine Ohotnikoff (la patronne du restaurant), Thierry Liagre (le médecin), Jean-Pierre Rambal (la voix du narrateur), Carole Nugue
« En 1981, dans La Soupe aux choux, De Funès incarne un petit paysan. Avec son ami Carmet, qui l’accompagnait déjà plus de trente ans auparavant à La Tomate, le bien nommé cabaret de leur jeunesse, ils sont les derniers Mohicans d’un monde qui n’existe plus : celui de la France éternelle, celle que ce fils d’immigré a choisie, celle des fermes du Bourbonnais (hélas reconstituées dans la banlieue parisienne), celle d’un auteur qu’il affectionne (René Fallet), qu’il adapte lui-même. De Funès se lâche, lui qui en cent cinquante films n’a jamais cédé à la vulgarité, choisit de devenir un « pépétomane » en communion avec la galaxie, qui confectionne une soupe aux choux, seul canal de communication avec les extraterrestres, une approche révolutionnaire du Big-Bang. » (Alain Kruger)