Surprise Boogie

dimanche 18 septembre 2016, 15h00

Salle Georges Franju

15h00 16h00 (60 min)

Osamu Tezuka
Japon / 1987 / 52 min / 35mm / INT. FR.

Cinq petites histoires animées d'Osamu Tezuka proposent chacune une expérience étonnante de cinéma d'animation. Le dernier film, La Légende de la forêt, est un hommage à Walt Disney. Il déroule toute l'histoire du cinéma en même temps qu'une histoire du monde moderne où la forêt est menacée.

À partir de 6 ans

Albert Pierru
France / 1951 / 1 min / DCP

« Ce qui m'a toujours intéressé, c'est la possibilité de retranscrire immédiatement et graphiquement une impression et même une émotion esthétique, bref de s'exprimer librement et aussi rapidement que le permet le défilement des images successives. Il y a dans le dessin direct sur pellicule une vibration qui apparaît à l'écran et qui me fascine toujours parce qu'on ne la retrouve que dans cette sorte d'images. Cette vibration visuelle qui correspond à la vibration musicale touche toujours le spectateur et c'est dans le non-figuratif qu'elle prend toute sa valeur esthétique. »


Albert Pierru
France / 1956 / 1 min / DCP

Albert Pierru, qui se qualifie lui-même d'artiste miniaturiste, est l'auteur de plusieurs films étonnants dans lesquels la musique, conçue dès l'origine du projet, vient dynamiser la création plastique animée. Ce cinéaste solitaire et peu connu avait pour habitude de dessiner à l'aide d'une loupe sur la pellicule 16mm, puis d'animer ses images grâce à sa caméra Pathé à manivelle, datant selon lui de 1921, et à un banc titre de « fabrication maison ».


Albert Pierru
France / 1956 / 4 min / DCP

Amateur de jazz dans les années 1950, Albert Pierru réalise des courts métrages qu'il nomme «films sans caméra». Inspiré par les dessins animés de Norman McLaren, il peint et dessine directement sur la pellicule, gratte l'émulsion et propose ainsi des films surprenants, très colorés et particulièrement rythmés.

Albert Pierru, qui se qualifie lui-même d'artiste miniaturiste, est l'auteur de plusieurs films étonnants dans lesquels la musique, conçue dès l'origine du projet, vient dynamiser la création plastique animée. Ce cinéaste solitaire et peu connu avait pour habitude de dessiner à l'aide d'une loupe sur la pellicule 16mm, puis d'animer ses images grâce à sa caméra Pathé à manivelle, datant selon lui de 1921, et à un banc titre de « fabrication maison ».