entraînement du film 8 mm par griffes ; deux débiteurs dentés ; lampe, moteur électrique et ventilateur incorporés ; rhéostat pour varier la vitesse ; magnétophone synchro-son incorporé ; avance et recul du film ; réembobinage ; bras pour bobines jusqu'à 120 m
Informations non disponibles
Etablissements Heurtier et Cie
Saint-Etienne, square Franklin-Roosevelt
Informations non disponibles
Informations non disponibles
Informations non disponibles
Som Berthiot f : 1,5 F : 20
Ouvert :
Longueur : 28 cm
Largeur : 15 cm
Hauteur : 38.5 cm
Fermé :
Longueur : 28 cm
Largeur : 15 cm
Hauteur : 38.5 cm
Diamètre :
Informations non disponibles
Informations non disponibles
Mode d'emploi à l'intérieur. Gravé sur l'appareil : "Heurtier" et "P S 8".
"Depuis sa première présentation à la Biennale de Paris en 1955, nous attendions la sortie de ce projecteur. A cette époque, il était loin de sa forme définitive puisque la lampe Préfocus n'existait pas, le constructeur avait seulement envisagé la réalisation d'un appareil de petites dimensions, se rapprochant sensiblement de ce qu'il est aujourd'hui. L'apparition de la lampe Préfocus allait permettre de compléter opportunément le PS 8, entraînant cependant une refonte assez importante de toute la conception ; ce qui explique la récente sortie de ce projecteur. L'aspect général est fort séduisant. La présentation originale et soignée est agrémentée d'une peinture grise martelée. Cette originalité réside dans un couvercle métallique qui, fermé, forme coffret, et, ouvert, reçoit les bobines jusqu'à 120 mètres. Il contient imprimé à l'intérieur du couvercle, la notice d'utilisation, et le cordon d'alimentation secteur est monté sur un enrouleur incorporé à l'appareil. [...] L'habituel point faible des Ets Heurtier est dans le rendement lumineux. La source lumineuse n'est pas exploitée au maximum. [...] Le PS8 reste suffisamment lumineux dans le cadre d'une projection d'environ 4 m de recul. Le chargement est facilité par des débiteurs à encliquetage automatique. Le rhéostat est d'un réglage très progressif et le fonctionnement de l'ensemble est agréablement silencieux. Le centrage de l'image est obtenu par déplacement de la griffe et l'orientation du projecteur par le système classique de la béquille avant. Enfin signalons le fonctionnement possible sur tous voltages de 110 à 220 volts sans avoir à changer la lampe, l'accès facile au presseur et au couloir pour le nettoyage, un dispositif de sécurité qui vient obturer la fenêtre de projection su l'appareil ne tourne pas à sa cadence normale ou si accidentellement il est arrêté lampe allumée, et le réembobinage moteur sans avoir à inverser les bobines" (Ciné Grim, n° 15, décembre 1958).
Ciné Grim, n° 15, décembre 1958.
Caméra Huit, n° 12, septembre 1959.
Cinéma chez soi, n° 25-26, décembre 1959.
Cinéma pratique, n° 40, mai 1962 ; n° 41, juillet 1962.