Catalogue des appareils cinématographiques de la Cinémathèque française et du CNC

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Caméra film 35 mm

N° Inventaire : AP-95-1475(1/2)

Collection : La Cinémathèque française

Catégorie d'appareil : Prise de vues cinématographiques

Nom du modèle : Parvo Modèle R2

Numéro de fabrication : n° R 2 7400

Lieu de fabrication : Paris, France

Année de fabrication : À partir de 1924

Brevet : B.F. n° 403 250, 19 septembre 1908 : "Appareil de prise de vues pour cinématographe susceptible de servir comme appareil ordi... +

Fiche détaillée

Type de l'appareil

entraînement du film 35 mm par deux griffes et deux contre-griffes ; came ronde excentrique ; cadre porte-griffes horizontal à rampe ; presseur intermittent ; deux débiteurs dentés ; deux magasins intérieurs de 120 mètres ; moteur électrique Debrie type G 24 volts 24 images ; indicateur de vitesse ; compteur de pellicule ; compteur de tours de manivelle ; deux viseurs ; poignée ; mise au point directe sur film et dépoli

Auteurs

Debrie Joseph-Jules
Paris, 111-113 rue Saint-Maur

Fabricants

Debrie, Etablissements André
Paris, 111-113 rue Saint-Maur

Utilisateurs

Debrie Joseph-Jules
Paris, 111-113 rue Saint-Maur

Distributeurs

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Sujet du modèle

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Objectif

Apochromat Kinoptik Paris f : 2, Foyer 40 mm, N° 906

Taille de l'objet

Ouvert :
Longueur : 45 cm
Largeur : 28.5 cm
Hauteur : 22 cm

Fermé :
Longueur : 45 cm
Largeur : 28.5 cm
Hauteur : 22 cm

Diamètre :
Informations non disponibles

Taille de la boîte de transport

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Remarques

Etiquette métallique : "Parvo. Matériel cinématographique. Etablissements André Debrie, 111-113 rue Saint-Maur, Paris : Mle R2, N° 7400. Made in France". Le premier modèle de la caméra Parvo est sorti en 1908 des ateliers Debrie (il restera en bois jusqu'en 1922 et deux ans plus tard il sera équipé d'un moteur électrique). Les caméras Parvo, améliorées au fil des ans, seront utilisées par bon nombre de grands opérateurs au cours des années vingt et trente. Son originalité, par rapport aux autres caméras de l'époque, résidait dans les magasins, percés au centre et placés à l'intérieur de la boîte de chaque côté du mécanisme. D'autre part la vision directe sur le film de toute l'image était assurée par une loupe "Optis - Debrie" qui permettait de contrôler dans la fenêtre d'impression la mise au point et le cadrage. L'opérateur avait la faculté de pouvoir suivre directement sur pellicule pendant la marche, sans cesser de tourner.