Générique
Réalisateur :
Arnaud Desplechin
Assistants réalisateurs :
Aude Cathelin, Bénédicte Darblay, Alexandre Nazarian, Elsa Pharaon
Scénaristes :
Arnaud Desplechin, Emmanuel Bourdieu
Dialoguistes :
Arnaud Desplechin, Emmanuel Bourdieu
Société de production :
Why Not Productions (Paris)
Coproduction :
La Sept Cinéma, France 2 Cinéma
Producteurs :
Grégoire Sorlat, Pascal Caucheteux
Directeur de production :
Oury Milshtein
Distributeur d'origine :
Bac Films
Directeur de la photographie :
Eric Gautier
Ingénieur du son :
Laurent Poirier
Mixeur :
Jean-Pierre Laforce
Compositeur de la musique originale :
Krishna Levy
Décorateur :
Antoine Platteau
Costumiers :
Claire Gérard-Hirne, Delphine Hayat
Maquilleur :
Bernard Floch
Coiffeurs :
Isabelle Legay, Jeanne Milon, Nurith Barkan
Monteurs :
Laurence Briaud, François Gédigier
Script :
Agnès deSacy
Directeurs de casting :
Claude Martin, Stéphane Batut, Jeanne Biras
Photographe de plateau :
Jean-Claude Lother
Interprètes :
Mathieu Amalric (Paul), Thibault deMontalembert (Bob), Emmanuelle Devos (Esther), Marianne Denicourt (Sylvia), Emmanuel Salinger (Nathan), Elisabeth Maby (Tatie), Solenn Jarniou (Pascale), Roland Amstutz (Chernov), Chiara Mastroianni (Patricia), Denis Podalydès (Jean-Jacques), Fabrice Desplechin (Ivan), Paule Annen (Madame Chernov), Marion Cotillard (l'étudiante Ivan), Michel Vuillermoz (Frédéric Rabier), Anne-Katerine Normant (la copine d'Esther), Jeanne Balibar (Valérie), Hélène Lapiower (Le Mérou), David Gabison (le délégué diocésain)., Vincent Nemeth (l'ami), Philippe Duclos (l'accompagnateur spirituel), Alain Bellèche, Marie-Christine Carle, Jill Helmi, Muriel Hunet, Christian Letocart, Danièle De Croock, Lucie Danco, Emeric Danco, Jonathan Reyes, Paolo Sergio Ribeiro, Florence Ricard, Erwan Le Youdec, Djemilla Racine, Pierre-Emmanuel Dupire
« J'ai l'impression que parler de sentiments, dans l'esprit de certains, implique la mièvrerie. Alors que la sexualité, c'est censé être toujours très cru. Donc, je me suis dit : "on va intervertir". Parler très crûment des sentiments et rendre la sexualité presque évanescente. » (Arnaud Desplechin)