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Avec Jacques Denis, Nicole Garcia, Jean-Pierre Sentier.
En 1957 à Alger, Henri Charlegue, le directeur du journal Alger Démocratie, est arrêté et torturé par les parachutistes du général Massu.
« C’est un film sur la torture, mais aussi sur l’espoir. Un film sur la manière dont un homme lutte contre la force brutale, arrive à triompher d’un ennemi qui est en apparence mieux armé et plus fort que lui. C’est un très beau film sur ce que j’appellerais l’héroïsme quotidien. Ce n’est pas un film pessimiste, déprimant, mais généreux et qui parle de la résistance dans ce qu’elle a de plus beau et de plus noble. » (Bertrand Tavernier)
Copie restaurée par le CNC.
Générique
Réalisateur :
Laurent Heynemann
Scénaristes :
Laurent Heynemann, Claude Veillot
Auteur de l'oeuvre originale :
Henri Alleg
Dialoguiste :
Claude Veillot
Sociétés de production :
Little Bear (Paris), Rush Distribution, Z Productions
Producteur délégué :
Jean-Serge Breton
Directeur de production :
Jean-Marie Richard
Distributeur d'origine :
PlanFilm
Directeur de la photographie :
Alain Levent
Ingénieur du son :
Michel Desrois
Compositeur de la musique originale :
Antoine Duhamel
Décorateur :
Richard Malbequi
Monteurs :
Armand Psenny, Ariane Boeglin
Photographe de plateau :
Moune Jamet
Interprètes :
Jacques Denis (Henri Charlègue), Nicole Garcia (Mme Charlègue), Jean-Pierre Sentier (Carbonneau), François Dyrek (Herbelin), Christian Rist (Maurice Oudinot), Françoise Thuriès (Josette Oudinot), François Lalande (maître Michaeli), Jean Benguigui (Claude), Fred Personne (commandot Massot), Djeloul Beghoura (Hamid), Jacques Frantz (lieutenant Malaze), Pierre Rousseau (capitaine Fouquet), Roland Blanche
« C’est un film sur la torture, mais aussi sur l’espoir. Un film sur la manière dont un homme lutte contre la force brutale, arrive à triompher d’un ennemi qui est en apparence mieux armé et plus fort que lui. C’est un très beau film sur ce que j’appellerais l’héroïsme quotidien. Ce n’est pas un film pessimiste, déprimant, mais généreux et qui parle de la résistance dans ce qu’elle a de plus beau et de plus noble. » (Bertrand Tavernier)
Copie restaurée par le CNC.